Ce dossier préconisant la création d’une personnalité juridique des robots est stupéfiant le jour même de la signature du CETA, lui-même annonciateur de pertes d’emplois massives.
Donner la personnalité juridique à des non-humains, qualifiés de personnes électroniques techniquement plus performantes, leur ouvre à très court terme des droits inévitablement prévalents sur ceux des humains potentiellement faillibles.
C’est déjà une réalité aux USA où il est clairement envisagé de ne plus assurer les humains en cas d’accident avec des véhicules autonomes, cela même ceux qui sont construits par le consortium Uber associé à Google. Dès lors, il n’y aura plus que des véhicules autonomes donnant à Uber le monopole des véhicules à moteur. Il est déjà anticipé plus de 400.000 pertes d’emplois chez les conducteurs de poids lourds nord-américains.
En Europe, déjà frappé par un chômage massif, ce sont probablement des dizaines de millions d’emplois qui seront perdus et votre revenu universel ne suffira pas à amortir la
flambée de la pauvreté. S’engager dans cette voie est proprement suicidaire pour nos travailleurs !