Une nouvelle révélation dans le scandale du Gardasil vient encore entacher la confiance que les français peuvent avoir dans leurs vaccins, les laboratoires pharmaceutiques qui les produisent et les instances de contrôle.
En l’occurrence, il s’agit du vaccin anti HPV (Gardasil en France), injecté dès l’âge de 16 ans et destiné à protéger les femmes contre le cancer du col de l’utérus.
Des scientifiques accusent l’Agence Européenne du Médicament de ne pas avoir mieux encadré la distribution de ce vaccin, a priori en « connivence » avec le laboratoire Merck.
Pourtant, depuis plus de 10 ans, des lanceurs d’alerte avaient relevé les très graves complications endocriniennes (ménopause à 16 ans) neurologiques(encéphalites) et des cas mortels après des campagnes vaccinales aux USA. En cause un des composés bien identifié du vaccin. Ces mêmes avertissements avaient été donnés à F. Hollande lorsqu’il avait décidé de doubler en 5 ans la couverture vaccinale au Gardasil.
Tous les ingrédients du scandale sont là : alertes sérieuses et répétées sur la multiplicité et la gravité des cas, responsabilité du vaccin prouvée, surdité des pouvoirs publics, désinformation consciente de la part des agences de contrôle, absence de réaction des laboratoires, dérive des prix… Avec en prime une inefficacité notoire, le comble !!!
Le Dr Joëlle Mélin s’indigne de cette nouvelle preuve de la collusion mortifère entre une industrie pharmaceutique, pourtant plus que toute autre tenue au respect humain, et des instances de contrôle clairement mises en cause. Elle en appelle à des sanctions à la hauteur de la gravité des faits.